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Citation

Wekwete NN, Sanhokwe H, Murenjekwa W, Takavarasha F, Madzingira N. Afr. Popul. Stud. 2014; 28(3): 1413-1431.

Copyright

(Copyright © 2014, Union for African Population Studies, Publisher Union pour l'étude de la population africaine)

DOI

unavailable

PMID

unavailable

Abstract

In Zimbabwe, levels of spousal Gender-Based Violence (GBV) remain a health, human rights and development concern. The main objective of this study was to investigate the association between spousal GBV and women's empowerment among women aged 15-49 who were currently in union or living with a man. The analysis utilised the 2010-11 Zimbabwe Demographic and Health Survey (ZDHS) data. Spousal violence was measured by different forms of GBV i.e. physical, emotional, sexual violence and overall GBV. Overall, 48.2% of women of reproductive age who are in a union experience some type of GBV. More specifically, 26.9% report physical violence, 25.7% sexual violence and 25.7% emotional violence. The analysis showed that women who did not participate in decision-making at household level were more likely to experience GBV than those who do. Women who have control over their spouses' earnings were less likely to suffer from GBV. However, ownership of property (land and/or house) was not associated with spousal GBV. Women who were in polygamous unions, whose spouses drank alcohol, earned less than their spouses and had a history of non-spousal physical violence were more likely to experience GBV than all other women. Younger women (aged 15-19 years) were more likely to experience spousal emotional, physical and sexual violence than the older age groups. Recommendations are to improve women's participation in decision making, mainstreaming GBV in development, and improve the economic and social emancipation of women and girls.

Keywords: Spousal violence, emotional violence, physical violence, sexual violence, gender based violence, intimate partner violence, women's empowerment

Résumé
Au Zimbabwe, les niveaux de la violence conjugale à caractère sexiste restera toujours l'une des préoccu-pations de la santé, des droits de l'homme et du développement. L'objectif principal de cette étude était d'examiner l'association entre la violence conjugale à caractère sexiste et l'autonomisation des femmes chez les femmes âgés de 15 à 49 ans actuellement en union conjugale ou vivant en couple avec un homme. L'analyse a utilisé des données recueillies dans l'Enquête démographique et de santé au Zimba-bwe (ZDHS) effectuée entre 2010 et 11 [The 2010-11 Zimbabwe Demographic and Health Survey (ZDHS)]. La violence conjugale a été mesurée par différentes formes de violence à caractère sexiste c'est-à-dire physique, émotionnel, la violence sexuelle et la la violence à caractère sexiste globale. Glob-alement, 48.2% des femmes en âge de procréer en union conjugale en subit la violence à caractère sex-iste sous une forme ou une autre. Plus spécifiquement, 26.9% d'entre-elles dit avoir été victimes de vio-lence physique, 25.7% d'entre-elles signale avoir souffert des violences sexuelles et 25.7% fait part de la violence émotionnelle. Cette analyse a démontré que les femmes qui ne participent pas à la prise de déci-sion au niveau des ménages étaient plus susceptibles que celles qui y participent de d'être touchées par la violence à caractère sexiste. Les femmes qui disposent à leur gré du revenu de leurs conjoints étaient moins susceptibles de souffrir de la violence à caractère sexiste. Toutefois, la propriété des biens (terres et/ou maison) n'est pas associée à la violence conjugale à caractère sexiste. Les femmes en unions polyg-ames, dont les conjoints consomment de l'alcool, gagnent moins que leurs conjoints et qui ont un lourd passé en matière de la violence physique non-conjugale étaient les plus susceptibles que toutes les autres femmes de subir la violence à caractère sexiste. Les femmes plus jeunes (agées de 15 à 19 ans) étaient plus susceptibles que les groupes plus âgés de connaître la violence conjugale sous forme émotionnelle, physique et sexuelle. Les recommandations de cette étude sont destinées à amélioration de la participa-tion des femmes à la prise de décision, à l'intégration de la violence à caractère sexiste dans le dé-veloppement, et à amélioration de l'émancipation économique et sociale des femmes et des filles.

Mots clés: Conjugale, sexuelle, la violence, l'égalité entre les sexes, l'autonomisation


Language: en

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