@article{ref1, title="Deterring driving under the influence of cannabis: knowledge and beliefs of drivers in a remedial program", journal="Canadian journal of criminology and criminal justice", year="2019", author="Watson, Tara Marie and Mann, Robert E. and Wickens, Christine M. and Brands, Bruna", volume="61", number="3", pages="1-20", abstract="As provincial and territorial governments across Canada adjust to the federal legalization of cannabis for non-medical use, strategies to deter driving under the influence of cannabis (DUIC) are increasingly attracting attention. Development and evaluation of legal and other measures designed to deter DUIC would benefit from improved understanding of knowledge and beliefs that underpin individuals' engagement in and avoidance of DUIC. In 2017, we conducted 20 interviews with clients of a remedial program for officially processed (i.e., convicted or suspended) impaired drivers. Eligible study participants reported having driven a motor vehicle within an hour of using cannabis in the past year. Using a thematic analytic approach, we observed vague awareness of the content of drug-impaired-driving laws; perceived low likelihood of getting caught by police for DUIC, with some beliefs that enforcement would increase after legalization; and a range of opinions on four key deterrent strategies (i.e., roadside spot-check programs, legal limits for tetrahydrocannabinol, zero tolerance for novice drivers, and remedial programs). Many participants raised concerns about the accuracy of roadside testing procedures and fairness to drivers. Our findings provide new support for elements of legislation and programming that might effectively deter DUIC., Alors que les gouvernements provinciaux et territoriaux du Canada s'adaptent à la légalisation fédérale du cannabis récréatif, des stratégies pour dissuader la conduite avec facultés affaiblies par le cannabis (CFAC) attirent de plus en plus l'attention. Le développement et l'évaluation de mesures légales ou autres, conçues pour dissuader la CFAC, gagneraient à mieux comprendre la connaissance et les croyances qui sous-tendent le fait qu'une personne conduise avec facultés affaiblies par le cannabis ou non. En 2017, nous avons effectué 20 entrevues avec des clients d'un programme correctif pour personnes ayant conduit avec facultés affaiblies officiellement condamnées ou suspendues. Les participants admissibles ont rapporté avoir conduit un véhicule motorisé moins d'une heure après avoir consommé du cannabis au cours de la dernière année. À l'aide d'une approche analytique thématique, nous observons une connaissance vague des lois sur la conduite avec facultés affaiblies par les drogues; une perception qu'il y a peu de chance d'être arrêté par la police pour une CFAC, avec une croyance que l'application de la loi serait accrue après la légalisation; et une gamme d'opinions au sujet de quatre stratégies de dissuasion clés (c.-à-d. les programmes de barrages routiers, les limites légales du tétrahydrocannabinol, la tolérance zéro pour les nouveaux conducteurs et les programmes correctifs). De nombreux participants ont exprimé une inquiétude face à l'exactitude des procédures de tests en bordure de la route et l'équité envers les conducteurs. Nos résultats offrent un nouvel appui aux éléments législatifs et de programmation qui pourraient dissuader la CFAC de manière efficace. Keyword: Cannabis impaired driving

Language: en

", language="en", issn="1707-7753", doi="", url="http://dx.doi.org/" }